Jamais, vraisemblablement, campagne présidentielle n’aura été, du fait des primaires, aussi longue et par ailleurs inédite, révélant un vrai malaise et une déliquescence démocratique. De fait, comme le disait un slogan publicitaire des chemins de fer il y a quelques années : « tout est possible ».
Dans un tel contexte il est essentiel que notre syndicalisme reste lui-même, alliant détermination, résistance et sang-froid. C’est ainsi, par exemple, que le 20 février nous avons publiquement présenté nos analyses, positions et revendications.
Comme ce fut déjà le cas (Cf. 2002 notamment) le 1er mai tombera entre les deux tours de l’élection présidentielle. Le 1er mai, rappelons-le, n’est pas la fête pétainiste du travail mais une journée internationale de revendications et de solidarité…

Edito 27-03-17
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