La Fédération nationale des Sapeurs-Pompiers trace dans un rapport sans appel la gestion de la crise du coronavirus. Pendant ce temps-là, l’exécutif peaufinait sa loi d’urgence qui n’avait pas pour seul but de protéger les Français de l’épidémie mais de mettre en oeuvre tout ce qu’il n’avait pas pu faire en l’espace de trois ans.
Le Président de la République, dans un nouvel élan théâtral, annonçait « C’est la guerre ». Il mettait en place un couvre-feu qui s’appelait « confinement ». Il « foutait la trouille à tous les Français » afin que ces derniers ne se préoccupent plus des contre-réformes sociales qui étaient, selon nos « dirigeants », mises au placard.
Il faut pas rêver, le Président peaufinait le retour de la réforme des retraites et de l’assurance chômage dans le même temps où les plans de licenciements dans tous les secteurs étaient travaillés pendant que les Français étaient « amusés » par la saga des masques. Petit à petit, on dévoilait les « dégâts considérables de la crise sanitaire » avec les suppressions de dizaines de milliers d’emplois chez Conforama et dans
d’autres grandes surfaces préparant les annonces chez Renault, Air France, Hop, Nokia, Smart et dans plusieurs entreprises de Bretagne.
Elle a bon dos la crise sanitaire !

LE JOUR DAPRES
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