2.11.0.0Le risque de cancer du sein
chez les travailleuses
de nuit : état des connaissancesLe risque de cancer du sein
chez les travailleuses
de nuit : état des connaissances« L’exposition professionnelle au travail de nuit, fixe ou posté, entraînant des perturbations de l’horloge biologique et des rythmes circadiens, a été associée dans plusieurs études à un risque accru de cancer du sein chez les femmes. Néanmoins, la qualité méthodologique des études épidémiologiques fait parfois défaut et le débat scientifique reste toujours d’actualité concernant cette association statistique, sa grandeur, les conséquences en termes de morbidité-mortalité, les recommandations pratiques de surveillance médicale et les préconisations pour la prévention des risques professionnels. La plausibilité biologique de ce risque et les voies physiopathologiques ont été de mieux en mieux élucidées. Cette revue de la littérature fait le point des connaissances sur le sujet et propose une analyse dans la perspective de la santé au travail. »« L’exposition professionnelle au travail de nuit, fixe ou posté, entraînant des perturbations de l’horloge biologique et des rythmes circadiens, a été associée dans plusieurs études à un risque accru de cancer du sein chez les femmes. Néanmoins, la qualité méthodologique des études épidémiologiques fait parfois défaut et le débat scientifique reste toujours d’actualité concernant cette association statistique, sa grandeur, les conséquences en termes de morbidité-mortalité, les recommandations pratiques de surveillance médicale et les préconisations pour la prévention des risques professionnels. La plausibilité biologique de ce risque et les voies physiopathologiques ont été de mieux en mieux élucidées. Cette revue de la littérature fait le point des connaissances sur le sujet et propose une analyse dans la perspective de la santé au travail. »
« L’exposition professionnelle au travail de nuit, fixe ou posté, entraînant des perturbations de l’horloge biologique et des rythmes circadiens, a été associée dans plusieurs études à un risque accru de cancer du sein chez les femmes. Néanmoins, la qualité méthodologique des études épidémiologiques fait parfois défaut et le débat scientifique reste toujours d’actualité concernant cette association statistique, sa grandeur, les conséquences en termes de morbidité-mortalité, les recommandations pratiques de surveillance médicale et les préconisations pour la prévention des risques professionnels. La plausibilité biologique de ce risque et les voies physiopathologiques ont été de mieux en mieux élucidées. Cette revue de la littérature fait le point des connaissances sur le sujet et propose une analyse dans la perspective de la santé au travail. »
« L’exposition professionnelle au travail de nuit, fixe ou posté, entraînant des perturbations de l’horloge biologique et des rythmes circadiens, a été associée dans plusieurs études à un risque accru de cancer du sein chez les femmes. Néanmoins, la qualité méthodologique des études épidémiologiques fait parfois défaut et le débat scientifique reste toujours d’actualité concernant cette association statistique, sa grandeur, les conséquences en termes de morbidité-mortalité, les recommandations pratiques de surveillance médicale et les préconisations pour la prévention des risques professionnels. La plausibilité biologique de ce risque et les voies physiopathologiques ont été de mieux en mieux élucidées. Cette revue de la littérature fait le point des connaissances sur le sujet et propose une analyse dans la perspective de la santé au travail. »
AUTEURS :
G. Caetano, D. Léger, Université Paris Descartes. Assistance publique-Hopitaux de Paris, Centre du sommeil et de la vigilance et service des
pathologies professionnelles et environnementales, Hôtel-Dieu, Paris.
L’intégralité de l’article TC164 INRS est en format PDF