Aujourd’hui, nous n’avons plus les moyens d’hospitaliser, d’opérer, de soigner nos patients.
Nous n’en pouvons plus de faire chacun le travail de plusieurs à cause des postes vacants, des collègues qui partent sans être remplacés, des effectifs qui fondent, pendant que ceux qui restent doivent se partager les astreintes, les gardes, la permanence des soins, le suivi des patients.
Jamais pourtant les hospitaliers, médecins et non médecins, ne se sont autant opposés à cette situation…

Com-02-12-2016
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