Au lendemain du passage au canon de la loi VALLS – GATTAZ – BERGER, les manifestants étaient au rendez-vous Place Denfert Rochereau pour se rendre à proximité de l’Assemblée Nationale. Pour complaire au gouvernement, les chiffres officiels du Ministère de l’Intérieur sur une mobilisation qui
s’essouffle, n’ont pas suffit pour que 50 000 travailleurs soient dans les rues de Paris. Une détermination renforcée encore par ce déni de
démocratie qu’est l’utilisation du 49-3. Un rejet profond d’une politique aux ordres de l’Union Européenne, de la Banque Centrale Européenne et du
FMI. Une détermination s’appuyant sur le fait que les travailleurs constatent de jour en jour la dégradation de leurs conditions de vie dans le même temps où ce gouvernement engage 47 milliards en direction du patronat pour leur allègement de charges. Il engage ces 47 milliards qu’il ponctionne aux services publics, à la politique de santé, de l’école etc…etc…. afin d’entrer dans les clous fixés par Bruxelles pour le « dégonflement » du déficit budgétaire.

Il n’y a pas d’essoufflement. Il y a une grande détermination pour obtenir le retrait du projet de loi…

A QUI PROFITE LE CRIME
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